mercredi 12 novembre 2008

Soudain son ami Paul ne put retenir son chien Lacan qui, attiré par un chat du voisinage, tendit la laisse téléscopique que ne maîtrisait plus son ami Paul de sorte que celle-ci s'enroula comme un lasso, au bout duquel aboyait son chien Lacan, autour des jambes du réputé docteur Pimply qui, en conséquence, perdit l'équilibre et tomba entraînant dans sa chute son sac et son contenu (une bouteille d'ouzo, présent d'une patiente hellène qui  etc...) Le réputé docteur Pimply désormais légèrement anisé se releva et , très énervé, s'adressa à son ami Paul: "Ce n'est pas une laisse que vous avez en main mais l'ombilic surmoïsé au bout duquel se tient votre animalité rageuse et aboyante dont les crocs ne sont que l'expression inconsciente d'une morsure que l'enfance récusa mais que votre ça perche au firmament de votre refoulement d'immature et aidez-moi à me défaire de votre ombilic, faites taire ce chien..."Son ami Paul obtempéra, libéra le réputé docteur Pimply qui s'éloigna d'une démarche un peu sirtakienne, montrant le poing à l'affreux clébard et à son ami Paul. Peu à peu le chien Lacan se calma. Le chat Sigmund, puisque c'est ainsi qu'il se nommait, avait disparu.
 


1 commentaire:

mitt a dit…

Une laisse? Certes. Mais P. la mienne n'est pas de cuir, à peine de plastique. Du moins c'est ce que j'aime croire.