jeudi 26 août 2010

"La cuistrerie de certains écrits se rapproche par sa pestilence des cadavres de rongeurs abandonnés au bord des chemins que les corbeaux fouissent jusqu'à en laisser l'os net..." songeait son ami Paul froissant sauvagement le supplément littéraire d'un journal du soir où s'épanchaient laquais et sycophantes.

1 commentaire:

laxophorebrachin a dit…

nous sommes les mediastins du monde