vendredi 20 mai 2011

Capter les forces invisibles, puis les confier au peintre dont la tâche est de les rendre visibles. Ainsi philosophait Gilles Deleuze qui n'y allait pas avec le dos du concept, coutumier des coups de râteau de grand large et des écrits de marées d'équinoxe . "Odradek que tout ça..." disait son ami Paul "Ces forces invisibles nous donnent mauvaise conscience, nous poussent vers le mur où s'accroche le tableau du peintre pour un face à face impitoyable. L'image dégrade l'oeil, le terrasse, le réduit à n'être qu'un écran..." continuait son ami Paul "du cinéma, de la persistance rétinienne, rien de plus, du sparadrap au bout du doigt..."

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