mercredi 19 août 2009

"Un quatuor dédié au livre de l'intranquillité où le violon ne serait pas simplement violon pas plus que l'alto ne resterait alto, que dire alors de la nouvelle identité du violoncelle? " s'interrogeait son ami Paul feuilletant avec lenteur le chef d'oeuvre de ce musicien poète écrivain mystificateur, cousin lusitanien du praguois avec lequel il faisait chapeau commun.
"Un marcheur sans cesse effrayé par la ville glaciale, ne pensant qu'à penser quand la coutume est de somnoler puis de sombrer..." continuait son ami Paul qu'un porto suave réconfortait, "Un sacré paroissien... "ajouta son ami Paul, le quatuor soudain devenu oratorio.

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