dimanche 5 octobre 2008

Son ami Paul ayant rencontré par hasard le réputé docteur Pimply l'entretenait à bâtons rompus , lui parlant sans contrainte. Propos amicaux sans grande importance. "Vous savez docteur" disait son ami Paul "je ne suis d'aucune école, d'aucun collège, d'aucune obédience, je n'aime pas être tenu en laisse" tandis qu'au bout de la laisse que tenait son ami Paul un vilain petit chien aboyait,jappait,manigançait ses affaires canines ce qui eut la conséquence d'énerver son ami Paul, qui excédé hurla "ta gueule Lacan!" Un électrochoc pour le réputé docteur Pimply qui de saisissement lâcha son sac. Un bruit de verre cassé suivi de l'écoulement d'une rigole de vieux porto qu'il avait reçu d'une patiente lusitanienne. Bel exemple de la schengenisation du rapport analyste-analysé que le réputé docteur Pimply peu sensible à la chose européenne balaya d'un coup de pied qu'il donna au malheureux Lacan tandis que son ami Paul s'éloignait en tirant le pauvre chien et en soliloquant:"je voulais l'appeler Bourvil mais appeler un basset Bourvil..."

Aucun commentaire: