"La littérature d'aujourd'hui..." disait son ami Paul, " un ramassis de maximes de commis voyageurs ..." Se réfugiant bientôt dans un molloyen mutisme, il mesurait la portée de son jugement, souriait et ajoutait: " ayant loupé le train..." rendant ainsi un discret et pingetien hommage qui suffit à lui redonner une soif que la simple pensée de ces pisse copie avides d'une notoriété de patronage avait soudainement tempérée. " garçon, deux sauvignon sur leur lit de bretzels! " demanda -t-il espiègle. " Trop de vraisemblable dans ces romans familiaux, trop d'hommes debout. On y souhaite un peu plus d'avachi, de contraint..." continuait son ami Paul ayant pris la pose du critique qui sait et qu'on écoute. Après une goulée d'apostrophe, il termina " Le plus désespérant, c'est qu'on a plus le courage d'écrire mal."
4 commentaires:
Barbey d'Aurevilly aurait certainement fait référence à Lichtenberg, à Maxime du Camp voir à la Rochefoucauld. Mais pour dire quoi? Peu importe après tout. Seul l'opinion d'un anonyme m'importe. Un anonyme du XVIII qui aurait signé par devers lui une intrigue à la con. Mais passons, comme aurait dit Reverdy (surtout au printemps) c'est une évidence qui paralyse ma demonstration!
Eh oui Barbey d'Aurevilly était un visionnaire, sa proximité avec Dieu lui permettait d'avoir un avis sur tout, surtout sur les oeuvres à venir! Rastinger aimait lire "le chevalier Des Touches" le soir autour du feu de camps juste avant les marches de nuit quand il était chef scout dans les jeunesses Hitleriennes...
Ah non, cher Théo, du pape à présent, vous n'avez pas peur des bulles...Et imaginer un pontife en culotte de cuir un edelweiss en sautoir, non c'est indécent. Comme disait Luis lors de cette mémorable partie de poker: "j'ouvre d'un scapulaire". De quoi, d'ailleurs?
scapulaire à tics...de rien...primaire secondaire tertiaire voir quaternaire...bête, con, rythropoïse, ruptif, uctation, satz, udit, rement, gothérapique, gastule, sans oublier ection, aflures, ain, bag, relle, dale et autre terrier...!
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