samedi 21 mars 2009

Son ami Paul ne décolérait pas. Il venait de recevoir un courrier au demeurant plein d'espoir envoyé par les ateliers Disney, du nom de ce grand malfaiteur de l'humanité que les Nobel auraient bien fait de récompenser par un prix de la honte bue jusqu'à la lie, dans lequel ceux-ci proposaient à son ami Paul, eu égard à sa grande expérience cinématographique ( ne fut-il pas Marguerite dans ce peplum couard et champêtre que le monde entier nous envie?) d'interpréter le héros lamentable du roman lamentable dont le titre, "elementary particle" évoquait à son ami Paul l'identité d'un triste poseur peu avare de cacahuètes. " Rendez-vous compte" dit son ami Paul après une salutaire et anxiolytique gorgée de sauvignon, "ces ateliers si peu recommandables ajoutent dans un sabir  impérialiste que , je cite, notre héros donald duck serait votre partenaire puisque le nom de l'écrivain "where is the beak?" semble imposer sa présence à vos côtés" Absorbant non sans brutalité une lampée de sauvignon, l'ex-futur nominé fulmina
 " jouer avec ce cabot de palmipède et finir au poulailler, trés peu pour moi! " Passa alors le garçon, chargé de quelques verres de sauvignon et songeant à son futur séjour "trois jours-deux nuits" au pays merveilleux du débile aux grosses oreilles noires.   

6 commentaires:

Boul a dit…

Alors celle là, il fallait la trouver!!
D'accord avec vous Monsieur Pflesch en ce qui concerne où est le bec l'infâme, et l'abruti aux grandes oreilles et à la voix pincharde flanqué d'une kyrielle de crétins du même acabit.
La colère de son ami Paul, par ailleurs un tantinet intolérant et bougon, semble sur ce coup là, plus que justifiée...

l'ami Paul a dit…

boul sortirait-il de ses gonds? Faut dire que le compte y est largement. Et vive l'intolérance!

Unknown a dit…

Quand je regarde Blanche neige je trouve le ciel rempli d'étoiles si petit (aurait dit salvator, un vieux copain moustachu à l'accent improbable). Face à la mort de la mère de bambi nous ne sommes rien, sinon de si pauvres citernes à purain répendues sur la paille humide du géni humain. Non Monsieur Flesh votre nationalisme ranci pour cette fois ne me fait pas rire. Quand on est habitant de ce si beau territoire meusien, où tant de nos frères americains sont morts pour défendre notre liberté alors on se doit de respecter Disney. C'est une question d'espace vital!Non vraiment, le sauvignon n'est pas toujours une excuse!

l'ami Paul a dit…

Soit, cher Théo, je vous laisse Blanche Neige et Bambi (serais-je bon prince charmant) j'y ajoute le capitaine crochet et avouez que la barque est bien trop pleine comme dirait un certain Muel qui ne s'embarrassait pas de ces considérations meusiennes et avait le chic de trancher dans le vif

Unknown a dit…

Que répondre...Il y a en vous ce je ne sais quoi d'aristocratique qui éteint toute vélléité de critique...mais attention à ce que votre belle fleur ne fletrisse ! Ne dit on pas que l'aristo fane?

l'ami Paul a dit…

ah flétrir,flétrir c'est pourrir un peu